Quand j'étais plus jeune, j'écrivais des poèmes surréalistes en notant ce qui me venait à l'esprit au moment de m'endormir. C'était mon habitude du soir. J'avais la technique étudiée. je savais me laisser aller, dériver doucement vers le sommeil, délirer un peu et noter ce que j'avais vu, ce que j'avais dit, ce que j'avais ressenti. La prose du néant.
Mes culottes sont sales, le fromage flotte dans le vent qui accompagne mes serrements.
Les guitares grincent dans les excitations de ma fente. Quel est ce questionnement du tissu sur tes mots ? Tout devient inquiétant, comme dans un thriller où un motard fou réveillerait toute la ville. Vent de la nuit opaque, etreins mon vice purulant et ouvre mes entrailles à qui le veut...
Clic clac, les trucs qui cognent les vitres, et personne n'est au courant.
Souffle ! Les yeux sont douloureux de revenir au piquant du lumineux. Bonne nuit.
Mes culottes sont sales, le fromage flotte dans le vent qui accompagne mes serrements.
Les guitares grincent dans les excitations de ma fente. Quel est ce questionnement du tissu sur tes mots ? Tout devient inquiétant, comme dans un thriller où un motard fou réveillerait toute la ville. Vent de la nuit opaque, etreins mon vice purulant et ouvre mes entrailles à qui le veut...
Clic clac, les trucs qui cognent les vitres, et personne n'est au courant.
Souffle ! Les yeux sont douloureux de revenir au piquant du lumineux. Bonne nuit.
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