C'est un truc qui m'a toujours épaté.... Les gros cons sont toujours des gros cons, quoi qu'il arrive... Quelques soient les circonstances, l'environnement, les impératifs... non, peu importe... La connardise ouvre toujours sa gueule. Sa grande gueule de pute acerbe.
Pensée du matin, cette fois.
Cette horrible phrase, il l'a dite après une soirée parfaite. Plus paisible et plus amicale que jamais... Faut croire que quelque part, il regrettait nos batailles. Je ne vois que ça... Ou alors, le diable et l'ange, euh non, le diable et le diable II, je veux dire...
La phrase...
Et puis tout s'est arrêté. Pour nous deux. Mais pas pour les mêmes raisons. Un gros goût de déjà-vu pour moi, un éclair de lucidité pour lui. Oh la vache, il est violent l'orage ! Voilà t'y pas que Môôôôsieur tenait plus debout. Vl'a aut' chose ! Vite, une chaise.
Attrayant spectacle que celui-ci : L'Ignorant Prenant Conscience Subitement de sa Perversité. On dirait une fable de La Fontaine !
Bam ! Dans la gueule ! Ca fouette jusqu'au sang la prise de consience ! Il est tout blême. Ses jambes sont en coton et il se cache le visage. Sa voix chevrotte. "Mon dieu, mais je suis pervers" Voilà ce qu'elle cherche à dire. Mais c'est trop dur, ha ha ha ! Seuls quelques Putain, le choc ! Ben pleure, mon gros ! Allez, ça attendrira ta carne de merde... Pleure !
Pleure et me fais plus chier, j'ai rêvé de voir le moment ou tu réaliserais que t'es qu'une sale merde, que tu vaux pas un clou, j'ai rêvé de connaître le jour où tu découvrirais que t'es une ignoble pourriture même pas bonne à traîner dans les égouts... J'ai rêvé de te voir chialer sur ta propre horreur, j'ai rêvé de te savoir vide devant ta propre dégueulasserie. J'ai rêvé de ce mépris que tu as enfin pour toi-même, et putain, ce que je kiffe ce moment. Te voir là, effondré par ta propre personne ! Quoi de plus desespérant, hein ? Difficile à trouver ! Ca fait quoi, fils de rien ? Comment tu te sens ? Mal, je vois... Mais encore ? j'aimerais des détails !
Parle !
Tu te révèles petit garçon, là, fragile et perdu, et je jouis de de t'écraser sous mon talon... le talon-aiguille d'une fille libérée.
D'un fille libre de toi, enfin, rancunière et violente. Compte pas sur moi pour te relever. C'est trop bon de te voir à terre. J'ai l'impression d'être une géante et toi, un nain dans une flaque de boue glacée, chialant, tentant de se protéger des coups... Pas gentil pour les nains, cette métaphore...
Tu as demandé pardon, le kiffe, chou ! Tu demandais pardon encore et encore. Tu demandais pardon et puis je t'envoyais encore un coup dans la gueule. Et tu redemandais pardon... Et moi j'étais tout la-haut, souriant benoîtement. Et puis toi, tu t'engouffrais. C'est vrai que c'est bon la perversité, je te comprends après tout, c'est délicieux !
Encore, oh oui !!! comme ça, oui, c'est bon !!
Pensée du matin, cette fois.
Cette horrible phrase, il l'a dite après une soirée parfaite. Plus paisible et plus amicale que jamais... Faut croire que quelque part, il regrettait nos batailles. Je ne vois que ça... Ou alors, le diable et l'ange, euh non, le diable et le diable II, je veux dire...
La phrase...
Et puis tout s'est arrêté. Pour nous deux. Mais pas pour les mêmes raisons. Un gros goût de déjà-vu pour moi, un éclair de lucidité pour lui. Oh la vache, il est violent l'orage ! Voilà t'y pas que Môôôôsieur tenait plus debout. Vl'a aut' chose ! Vite, une chaise.
Attrayant spectacle que celui-ci : L'Ignorant Prenant Conscience Subitement de sa Perversité. On dirait une fable de La Fontaine !
Bam ! Dans la gueule ! Ca fouette jusqu'au sang la prise de consience ! Il est tout blême. Ses jambes sont en coton et il se cache le visage. Sa voix chevrotte. "Mon dieu, mais je suis pervers" Voilà ce qu'elle cherche à dire. Mais c'est trop dur, ha ha ha ! Seuls quelques Putain, le choc ! Ben pleure, mon gros ! Allez, ça attendrira ta carne de merde... Pleure !
Pleure et me fais plus chier, j'ai rêvé de voir le moment ou tu réaliserais que t'es qu'une sale merde, que tu vaux pas un clou, j'ai rêvé de connaître le jour où tu découvrirais que t'es une ignoble pourriture même pas bonne à traîner dans les égouts... J'ai rêvé de te voir chialer sur ta propre horreur, j'ai rêvé de te savoir vide devant ta propre dégueulasserie. J'ai rêvé de ce mépris que tu as enfin pour toi-même, et putain, ce que je kiffe ce moment. Te voir là, effondré par ta propre personne ! Quoi de plus desespérant, hein ? Difficile à trouver ! Ca fait quoi, fils de rien ? Comment tu te sens ? Mal, je vois... Mais encore ? j'aimerais des détails !
Parle !
Tu te révèles petit garçon, là, fragile et perdu, et je jouis de de t'écraser sous mon talon... le talon-aiguille d'une fille libérée.
D'un fille libre de toi, enfin, rancunière et violente. Compte pas sur moi pour te relever. C'est trop bon de te voir à terre. J'ai l'impression d'être une géante et toi, un nain dans une flaque de boue glacée, chialant, tentant de se protéger des coups... Pas gentil pour les nains, cette métaphore...
Tu as demandé pardon, le kiffe, chou ! Tu demandais pardon encore et encore. Tu demandais pardon et puis je t'envoyais encore un coup dans la gueule. Et tu redemandais pardon... Et moi j'étais tout la-haut, souriant benoîtement. Et puis toi, tu t'engouffrais. C'est vrai que c'est bon la perversité, je te comprends après tout, c'est délicieux !
Encore, oh oui !!! comme ça, oui, c'est bon !!
2 commentaires:
OOOOOOOUUUUUAAAAAIIIIISSSSS!!!!!!
ET POUR LABRAVE HIP HIP HIP!!!
OURAAAAA!!!!!!
wouaw ! ça fait du bien de te lire, surement autant que ça t'en fait à toi d'écrire ce genre de prose. J'adore !
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